Incontournable Louis-Pierre Bougie
Éric Clément, La Presse
Publié le 17 août 2015
Devenu un des plus grands artistes visuels canadiens, le graveur et peintre Louis-Pierre Bougie est incontournable depuis deux ans. Après des expositions au Centre d’archives de Montréal, au 1700, La Poste, au Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul et à l’Atelier Circulaire, l’Université de Sherbrooke présente Allers-retours, une exposition à couper le souffle.
L’existence. La vérité. La souffrance. Le combat. Le courage. Louis-Pierre Bougie écrit à la pierre noire les expressions de la vie. Et on ne se lasse pas de son alphabet. Surtout quand on découvre, à chacune de ses expositions, un angle pour évoquer son travail, ses inspirations, sa démarche artistique et ses goûts.
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Magog: agapes d’art contemporain
Éric Clément, La Presse
Publié le 16 août 2015
Cet été, la galerie propose Multiples, une exposition d’éditions numérotées, de gravures, de lithographies, de photographies et de sculptures. Jean-Michel Correia a aussi programmé des pièces du graveur québécois Louis-Pierre Bougie, en complément de celles présentées au pavillon Irénée-Pinard de l’Université de Sherbrooke dans le cadre de l’expo Allers-Retours.
La plus grande des estampes de Louis-Pierre Bougie est La transversale, une pierre noire et acrylique sur carton datant de 1999, qui montre un personnage masculin au corps élancé et géométrique dont les bras et les mains semblent plutôt incontrôlables. Un corps « habité par la nécessité de prendre place », comme le dit l’écrivain, poète et essayiste Michaël La Chance dans son essai sur Louis-Pierre Bougie édité en 2013 dans le catalogue de l’exposition que la mécène Isabelle de Mévius avait organisée au centre d’art 1700, La Poste, à Montréal.
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Louis-Pierre Bougie: voyager, créer
Karine Tremblay, La Tribune
Publié le 03 juin 2015
Tout l’été, l’artiste de renom expose les œuvres des 35 dernières années à la Galerie d’art du Centre culturel de l’Université de Sherbrooke.
Fort bien nommée Allers-retours, l’exposition fait le lien entre les différents séjours à l’étranger et le parcours artistique du peintre et graveur natif de Trois-Rivières. Majoritairement en noir et blanc, avec toutes les nuances de gris existant entre les deux, et avec parfois quelques éclats de couleurs, la cinquantaine de gravures exposées témoignent de la polyvalence de l’artiste autant qu’elles permettent d’apprécier sa singulière signature. D’une époque de création à une autre, petits et grands formats se font écho. La collection personnelle de l’artiste, composée d’oeuvres acquises lors de ses différentes résidences à l’étranger, est aussi affichée sur les murs de la Galerie.
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Louis-Pierre Bougie expose au Musée d’art contemporain
Dave Kidd, CIHO FM 96,3
Publié le 8 novembre 2014
Le Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul présente depuis une semaine l’exposition « Entre le trait et la vie ».
C’est une rétrospective majeure de l’artiste Louis-Pierre Bougie. Certaines créations sont exposées pour une première fois. La production de cet artiste, qui était de l’édition 1994 du Symposium international d’art contemporain, s’inscrit dans le renouveau de la figuration québécoise contemporaine. Louis-Pierre Bougie est à la fois un peintre, dessinateur et graveur émérite.
Cette exposition présentée jusqu’au 8 février est une collaboration de la maison de la culture Villeray-St-Michel-Parc-Extension de Montréal.
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Louis-Pierre Bougie: le graveur de la gravité
Éric Clément, La Presse
Publié le 16 novembre 2013
Artiste majeur de la gravure québécoise, Louis-Pierre Bougie fait l’objet de deux expositions simultanées. Ses 11 livres d’artiste sont exposés au Centre d’archives de Montréal, tandis que ses eaux-fortes et ses dessins étrennent le nouveau centre d’art de Griffintown, le 1700 La Poste.
Impossible d’évoquer la dernière exposition de Louis-Pierre Bougie, Un trait… une oeuvre, sans dire un mot sur le 1700 La Poste, ce nouveau temple des arts plastiques aménagé grâce à la passion de la mécène Isabelle de Mévius et au talent de feu l’architecte Luc Laporte. L’intérieur du bâtiment, construit il y a juste 100 ans sur les plans de David Jerome Spence, a été transformé avec goût. Avec de grandes fenêtres et un éclairage approprié, les lieux honorent désormais de belle façon les oeuvres d’art en résidence.
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Hommage à Louis-Pierre Bougie, poète du trait
Paul Bennett, Le Devoir
Publié le 4 novembre 2013
La nouvelle mécène du milieu de l’art montréalais, Isabelle de Mévius, a causé la surprise en inaugurant ce qu’elle appelle sa « maison », le 1700 La Poste, avec la rétrospective d’un artiste qui s’est toujours tenu à l’écart des pratiques dites « actuelles » en art contemporain, le peintre et graveur Louis-Pierre Bougie. Depuis près de quarante ans, ce poète du trait au crayon et au burin a exploré toutes les avenues et les potentialités de la gravure traditionnelle sur cuivre. Aussi cette rétrospective est-elle un hommage amplement mérité à un créateur resté fidèle à lui-même et à sa passion, et corrige-t-elle la frilosité de nos musées à l’égard d’un des artistes québécois parmi les plus constants et accomplis.
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Louis-Pierre Bougie – Les chemins les moins fréquentés
Paul Bennett, Le Devoir
Publié le 21 septembre 2013
Cet automne sera l’automne Louis-Pierre Bougie à Montréal. Outre l’exposition déjà en cours de ses livres d’artiste, présentée par Bibliothèque et Archives nationales du Québec au Centre d’archives de Montréal, le dessinateur, peintre et graveur né en 1946 à Trois-Rivières inaugurera à la mi-octobre les cimaises du tout nouveau centre de diffusion de l’art du 1700 La Poste, dans Griffintown. Par la même occasion paraîtra une monographie consacrée à ses quelque 40 ans de carrière.
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À BaNQ, une année création
Daniel Lemay, La Presse
Publié le 06 septembre 2013 à 13h48
Arts visuels et danse, théâtre et littérature, histoire et société: voilà autant de champs que Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) entend cultiver durant la prochaine année, alors que sa programmation se consacrera à la création et à ses motifs. Avec des conférences, des ateliers, des lectures publiques et des films, la Grande Bibliothèque se lance dans l’exploration de toutes les formes de création sous lesquelles les artistes québécois nous font connaître leur art et leur oeuvre. Comme pièces de résistance, cinq expositions, dont deux consacrées à des artistes visuels: le «continentaliste» René Derouin, infatigable promoteur des échanges entre les artistes des trois Amériques, et Louis-Pierre Bougie, figure de proue internationale du livre d’artiste.
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Louis-Pierre Bougie : peuplades lovées sur l’horizon
Josianne Desloges, collaboration spéciale, Le Soleil
Publié le 16 août 2011 à 05h00
L’horizon penche et bascule, dans les plus récentes oeuvres de Louis-Pierre Bougie. Toujours peuplées de bonshommes mi-gouttes d’eau mi-feuilles, les gravures et les toiles hybrides de l’artiste sont exposées sur les murs de la Galerie Lacerte jusqu’à la fin du mois. L’exposition Horizons incertains porte bien son nom. On ne sait trop si les peuplades de Louis-Pierre Bougie se lovent en apesanteur ou sont écrasées par le poids du monde. Elles dégringolent, se nouent, se régénèrent avec une surprenante souplesse. Avec une certaine tristesse aussi, amenée par les gris, les bleus délavés et les kakis. Lorsqu’il en parle, Bougie compare ses humains aux feuilles, et souligne que les deux entités suivent le cycle des saisons. Naissance, vie et mort : l’éternel recommencement.
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